Lorsque l’on pense aux stations balnéaires, on les associe instinctivement à la période estivale.
Les images que l’on se représente le plus communément sont celles de plages garnies de baigneurs, de vie grouillante, des odeurs d’huile solaire, de la chaleur, des marchands de glaces.
Cela est normal car par définition la station balnéaire est dédiée et équipée pour les bains de mer qui sont pris, pour la grande majorité d’entre nous, durant cette période.
Les images que l’on se représente le plus communément sont celles de plages garnies de baigneurs, de vie grouillante, des odeurs d’huile solaire, de la chaleur, des marchands de glaces.
Cela est normal car par définition la station balnéaire est dédiée et équipée pour les bains de mer qui sont pris, pour la grande majorité d’entre nous, durant cette période.
Mais quelle image peut révéler la station balnéaire hors saison ?
N’est-elle que vide dépourvue de son essence et de sa raison d’être ?
Nous renvoie-t-elle une image déprimante que nous souhaiterions fuir ?
Ne pourrait-on pas au contraire y trouver une forme de zénitude ?
N’est-elle que vide dépourvue de son essence et de sa raison d’être ?
Nous renvoie-t-elle une image déprimante que nous souhaiterions fuir ?
Ne pourrait-on pas au contraire y trouver une forme de zénitude ?
Un rythme plus lent, plus calme, matérialisé par des espaces marins ouverts à l’infini et d'infrastructures silencieuses ?